Divorce, séparation de corps
Il existe 4 cas de divorce. Certains divorces sont de type contentieux et nécessitent de passer devant le juge. C’est le cas du divorce pour faute, pour altération définitive du lien conjugal ou pour acceptation du principe de la rupture du mariage. À l’inverse, le divorce par consentement mutuel est un divorce à l’amiable. La séparation de corps permet aux époux de rester mariés, mais de ne plus vivre ensemble.
Divorce devant un juge (contentieux)
Divorce sans juge (amiable)
Effets du divorce
Séparation de corps et de biens
Il est important de consulter un avocat afin de connaitre votre situation et vous conseiller dans le meilleur des intérêts.
Vous aider et vous accompagner dans les démarches juridique.
Vous avez un différend familial (séparation, divorce, autorité parentale..), vous êtes en rupture de liens avec votre famille, vous avez un conflit successoral ? La médiation familiale peut vous aider. Elle se met en place avec votre accord et celui de toutes les parties afin de rétablir la communication et de rechercher une solution amiable à votre litige. Elle peut aussi être décidée par le juge.
Par contre, la médiation familiale n’est pas possible si des violences ont été commises.
Questions fréquentes et leurs réponses
L’article 373-2 du Code civil précise que « la séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent ». En cas de désaccord, le parent le plus diligent saisit le juge aux affaires familiales. Ce dernier statue selon ce qu’exige l’intérêt de l’enfant, répartit les frais de déplacement et ajuste en conséquence le montant de la contribution à l’entretien et à l’éducation de l’enfant.
Les juges attribuent l’autorité parentale en fonction de l’intérêt de l’enfant. Les erreurs commises par l’un des parents, comme dans le cas d’un divorce pour faute, ne peuvent influencer sa décision. L’article 373-2-11 du code civil précise que le juge tient compte de la pratique ou de l’accord antérieur des parents, des sentiments exprimés par l’enfant mineur (voir question 3) et de la capacité des deux parents à exercer leurs fonctions et respecter les droits de l’autre. Les juges examinent également les résultats de toute expertise, en tenant compte notamment de l’âge de l’enfant.
En outre, avant une décision provisoire ou définitive sur la filiation et le droit de visite, un juge peut requérir une enquête sociale (article 373-2-12 du code civil) pour recueillir des informations sur la situation et les conditions familiales. où les enfants vivent et grandissent. Si l’un des parents conteste la conclusion, une contre-enquête peut être ordonnée à sa demande.
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